Fabien Laroque me présente ces deux collaborateurs, Charles Quaeghebeur et Joachim Lourenço. On sent tout de suite entre eux une forte cohésion, une complicité solide. Nous poursuivons la conversation entamée hier. Fabien réfléchit vite, et bien. Je le sens plus détendu, plus engagé déjà sur le meilleur parti pris que le collège pourrait tirer de ce dynamisme extérieur bienvenu. Nous convenons que le Collège Cévenol est une formidable « pépite ». Qu’il faut la ressortir de sa gangue. Que ce n’est pas facile, mais possible. Là, maintenant. Cette année. Qu’il faut que le collège soit résolument tourné vers son devenir. Mais aussi résolument ancré dans son histoire. L’histoire, la grande, celle qui nous porte au-delà de nous même. Pas les « petites » histoires, celles qui nous minent, nous plombent et ne sont que le reflet de nos plus mauvais travers.