Vous l’avez compris, l’association, telle qu’elle est constituée aujourd’hui, a beaucoup de mal à fonctionner. Antoine et Benoît, qui s’étaient engagés lors de la réunion du 8 novembre à prendre en charge avant la fin de l’année diverses modalités d’organisation matérielle de la fête, à élaborer son budget et les formalités d’inscription, etc… n’ont pas semble-t-il réussi à faire cela pour l’instant.
Du moins, en tant que coordinateur du Copil, je n’ai plus depuis le 8 novembre de nouvelles précises et opérationnelles malgré mes relances par mails et mes messages téléphoniques. Et aucune initiative de contact ne semble avoir été entreprise par eux à notre égard. C’est embarrassant ! J’avais également proposé à Antoine de faire campagne sur le blog pour faire adhérer et réadhérer les anciens. Je demandais seulement au préalable que l’association puisse s’engager à accuser réception des chèques envoyés et à les encaisser. Je n’ai toujours aucune réponse à ce sujet non plus.

Comme je l’ai déjà dit maintes fois dans nos réunions, il n’est nullement question de critiquer le travail du bureau actuel. Bien au contraire. Depuis des années, malgré toutes les difficultés de mobilisation qu’ils ont rencontré, ce sont eux qui ont maintenu l’association en vie.

Il n’en reste pas moins qu’aujourd’hui, alors que des centaines d’anciens sont maintenant mobilisés, que des dizaines d’entre eux se réunissent à Paris, à Genève, à Lyon et au Chambon, que nombre d’entre eux sont prêt à épauler très concrètement l’équipe en place, il faut absolument que nous réussissions à mettre en place une équipe, au sein de l’association, à même de porter cet élan jusqu’à la Pentecôte. Et au delà bien sur, puisque nous aurons l’occasion, à ce moment-là, d’organiser une assemblée générale et un congrès statutaire afin de nous reconstruire dans un dispositif plus opérationnel. Avec la même équipe bien sûr, qui n’a pas démérité, mais élargie à une dimension lui permettant de faire face à ses responsabilités.