Ce texte était très beau.
Puis Alain son mari, fit un long historique de la vie de Tom au Chambon. Il faut dire que tous deux étaient très proches de Tom, l’ayant accompagné au même titre que ses filles et notre chère Germaine, et d’autres personnes que j’oublie certainement, tous voyant Tom décliner de jours en jours, mais essayant de l’accompagner le mieux possible. Tom ne s’est jamais plaint, et surtout il ne voulait pas déranger. Timidement il disait jusqu’au bout que tout allait bien, qu’il était bien.
Charly, le mari de Carmen, nous interpréta au sax alto, un morceau de jazz que Tom aimait beaucoup. Charly a beaucoup de talent, c’est un excellent pianiste « touche à tout » nous le retrouverons plus loin.
Lola prit aussi la parole, pour dire combien son papa souhaitait que l’esprit de paix continue à vivre au Collège.
Florence lut enfin un poème qu’elle avait écrit (comme elle dit)  avec son cœur. Vibrant d’amour ce poème était magnifique.
Suivit l’homélie, les cantiques, et une prière commune.
Charly nous interpréta un autre morceau de jazz, puis après un notre père dit en commun, vint la bénédiction finale.
Puis une fois dehors, les gens purent se retrouver. On nota la présence de Martine Chauvinc et Fabien Larroque, bien que tous deux soient en vacances, ils sont venus , marquant ainsi l’attachement de la direction actuelle aux valeurs anciennes.
Suivit une petite réunion à la salle François Lods aimablement prêtée pour cette occasion. Nous nous sommes retrouvé autour de gâteaux arrosés de café et autres boissons non alcoolisées.
Carmen et Lola avaient fort à faire pour répondre à toutes ces questions que nous leur posions. L’atmosphère était très détendue, aidée en cela par Charly au piano boogies (photo), qui nous interpréta des airs de Brassens revus et corrigés sur un thème de jazz. Un sacré musicien que nous serions heureux d’avoir avec nous pour Pentecôte 2009 ;
Nous nous sommes séparés vers 18 heures, tristes cela va sans dire, mais contents d’avoir retrouvé Carmen et Lola, et contents de ces échanges.

Texte de Sam Debard